samedi 31 mars 2012

Géopolitique : Cinq caméras cassées, où deux frères ennemis se rencontrent !

Salut à tous,   

Du site Rue 89 :

   ¨Installés dans un café à deux pas du Centre Georges Pompidou, où est diffusé leur documentaire « Cinq caméras cassées », dans le cadre du festival Cinéma du réel, Emad Burnat et Guy Davidi attendent que j’installe ma caméra. Quand le trépied se casse en deux, Emad Burnat me propose immédiatement de tenter de le réparer.

   Pendant sept ans, jusqu’en 2011, ce paysan du village de Bil’in, en Cisjordanie, a filmé le quotidien des habitants et de sa famille. Tout à commencé en 2004, lorsque son quatrième enfant, Jibreel, voit le jour.

Ses amis lui offrent une caméra pour l’occasion, mais les personnes qu’il filme vont largement dépasser le cadre familial. La naissance de son fils coïncide avec un autre événement important :

   « Les manifestations contre la construction d’une clôture entre notre village et les colonies israéliennes les alentours ont commencé au même moment. J’ai tout de suite commencé à les filmer. »

* Jibreel grandit... les caméras aussi !

   Emad Burnat ne peut réparer ma caméra. Tant pis, on devra faire sans. L’homme entreprend alors de détailler le travail qu’il a effectué avec la sienne. Ou plutôt les siennes, car en tout cinq caméras, cassées les unes après les autres lors d’altercations avec l’armée israélienne, auront été nécessaires pour tourner ce documentaire.

   Un récit de 90 minutes où l’histoire d’un petit graçon et de sa famille se fond dans celle de la résistance d’un village palestinien¨... (Lire la suite)

http://www.rue89.com/rue89-culture/2012/03/31/cinq-cameras-cassees-du-film-amateur-au-docu-israelo-palestinien-230730

(*) Photo : Emad Burnat et Guy Davidi

Pégé   

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