jeudi 26 septembre 2019

DOSSIER : La ruée vers le sable !

Salut à tous,

Du site France Culture : Qu’appelle-t-on sable ? Comment se forme-t-il ? Comment les plages sont-elles apparues ? Comment se sont-elles stabilisées et pourquoi reculent-elles aujourd’hui ? Quel domaine est le plus concerné par l’exploitation de sable ? Quelles parties du monde sont déjà concernées par une pénurie de sable ? 

¨ En ce lendemain d’ouverture de la COP23 à Bonn, en Allemagne, il n’y a pas que la consommation des ressources en hydrocarbures qui est préoccupante pour l’avenir de notre planète. Il n’est pas impossible qu’avant que nous ne soyons à cours de pétrole, ce soit le sable qui se tarisse. Le sable est aujourd’hui la matière première la plus exploitée au monde, principalement pour la construction, elle donne lieu à des procédés d’extractions devenus hors de contrôle et à un marché mondial mirobolant, compte tenu des besoins croissants en béton et en silicium et de la course à l’urbanisation, principalement sur les zones côtières.

Le reportage du jour 

    Diverses solutions sont en développement pour remplacer le sable marin dans la construction. L’approche de la physique fondamentale permet de mieux comprendre la dynamique des grains de sable, et ouvre des perspectives pour des matériaux alternatifs¨ ... ( Voir la suite de l'article )

https://www.franceculture.fr/emissions/la-methode-scientifique/la-methode-scientifique-mardi-7-novembre-2017
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Tant que le sable durera !

   ¨Les industriels de l’extraction de sable confrontés à l’épuisement des alluvions et à la surexploitation des rivières se sont tournés depuis près de trente ans vers un autre sable, le sable marin. La morphologie des côtes du monde entier s’en trouve aujourd’hui modifiée.

   Selon le journaliste Denis Delestrac, 9 plages sur 10 en Californie sont en voie de disparition tandis qu’en Indonésie, 25 îles ont disparu pour alimenter Singapour en sable. Maldives, Sénégal, Maroc, de nombreux pays font face à cette disparition progressive de leurs côtes laminées par la folle expansion des hommes et leurs bétonneuses consommatrices de sable¨... ( Voir la suite de l'article )

https://www.franceculture.fr/emissions/lheure-du-documentaire/tant-que-le-sable-durerahttps://www.franceculture.fr/emissions/lheure-du-documentaire/tant-que-le-sable-durera
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Quand le bâtiment va...  : Le marché du sable sous tension !

   ¨  De l’eau, du sable et du ciment, tels sont les ingrédients pour faire le béton et le parpaing. L'urbanisation galopante combinée à une raréfication de la ressource dans des lieux facilement accessibles engendrent un marché du sable particulièrement sous pression.

   Une nouvelle semaine s’offre à nous et avec elle une nouvelle série consacrée à l’économie de la construction. Casque de chantier sur la tête et marteau-piqueur dans les mains, nous allons vérifier cet adage prononcé par le maçon et député Martin Nadaud en 1850 : "Quand le bâtiment va, tout va ! " : autrement dit, la construction est-elle encore au cœur de la croissance de nos économies ? Demain, nous retracerons l’histoire tourmentée des travailleurs du BTP, l’une des mains d’œuvre les plus précaires qui soit. Mercredi, près d’un siècle après le New Deal, les politiques de grands travaux sont-elles un bon outil de relance ? Jeudi, enfin, on observera la formation des bulles spéculatives dans le secteur de l’immobilier. Mais d’abord, explorons le marché mondial du sable, une ressource de plus en plus disputée.
¨J'ai rencontré en Inde quelqu'un qui s'est fait battre parce qu'il s'est opposé à l'extraction de sable. Il y aurait un moyen assez simple de lutter contre ce genre de dérive : les Etats devraient regarder la provenance du sable avec une certaine traçabilité.Pascal Peduzzi¨...  ( Voir la suite de l'article ) 
 https://www.franceculture.fr/emissions/entendez-vous-leco/quand-le-batiment-va-14-les-marchands-de-sable-a-lassaut
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lundi 23 septembre 2019

CLIMAT : S’adapter ou mourir !

Salut à tous,

Du site leQuotidien : Participerez-vous à la marche pour le climat le 27 septembre ? 


¨ Personnellement, je ne sais pas. Pour tout dire, je n’ai jamais été véritablement à l’aise avec la démocratie de la rue et je ne suis pas du tout convaincu des effets positifs d’une telle approche. Ce que je reconnais, en revanche, c’est que la cause pour laquelle des milliers de personnes s’apprêtent à marcher est importante, pour ne pas dire fondamentale.

   Ce faisant, que je marche ou non avec eux vendredi, je suis d’avis que nous avons à tout le moins le devoir de porter une attention toute particulière au message de celles et ceux qui savent qu’en matière de climat, l’heure n’est plus aux tergiversations, mais à l’action. Alors, on prend des notes, mesdames et messieurs les élu.e.s ?
   
   Le pronostic est clair et le choix l’est tout autant : s’adapter ou mourir. Bon, quand je dis mourir, j’avoue que j’exagère probablement un peu. Je ne crois pas que l’espèce humaine soit réellement menacée d’extinction en raison du réchauffement planétaire. Cependant, il n’est pas déraisonnable de penser que si nous ne changeons pas assez rapidement et radicalement notre manière de produire et de consommer – notamment en matière énergétique –, nous risquons bientôt de nous retrouver avec de sérieux problèmes sur les bras.

   Mais que faire ? La solution est relativement simple, mais radicale, en ce sens où elle implique un important changement de paradigmes sociaux et économiques. Ce qu’il faut surtout revoir, c’est notre modèle économique axée sur la croissance perpétuelle, donc sur la consommation excessive. 

   Que ce soit sur le plan humain ou environnemental, nous savons très bien que ce modèle n’est pas viable et qu’il fait plus de mal que de bien. Parmi les traits caractéristiques de ce modèle, il y a toute la place accordée à l’individualisme et à la compétition.

   Pourtant, s’il y a bien une leçon que nous enseignent les plus récentes recherches en biologie évolutionnaire et en sciences cognitives, c’est que ce qui a fait le succès de notre espèce n’est pas sa propension à la compétition et à l’individualisme, mais sa capacité à coopérer. 

   En effet, contrairement à un mythe largement répandu en raison d’une mauvaise compréhension des mécanismes de l’évolution, nous n’avons rien à gagner à nous entredéchirer les uns les autres, mais avons au contraire tout avantage à nous entraider. Comme quoi le besoin de solidarité n’est pas qu’une valeur subjective, mais un fait scientifiquement avéré.

   Tout cela pour dire que sur la question du climat, nous n’aurons bientôt plus le choix d’agir. Et la solution passera forcément par une révision en profondeur de notre rapport au monde et aux autres¨...
  ( Voir la chronique au complet )

 https://www.lequotidien.com/chroniques/sebastien-levesque/sadapter-ou-mourir-c841467ba1b746d18e9aa2e28d2066a6
Pégé 
 
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mercredi 18 septembre 2019

GÉOPOLITIQUE : Pourquoi la gauche israélienne s’est effondrée ?

Salut à tous,

Du site Basta : Le dépouillement des bulletins de votes quasi-terminé, le mouvement centriste Bleu-blanc de Benny Gantz et le Likoud de Benjamin Netanyahu sont au coude-à-coude. La liste arabe unifiée arrive en troisième position. Les deux partis de gauche, travailliste et Meretz, sont très loin derrière. Vers quel type de gouvernement se dirige-t-on ?   

¨ Aucune majorité claire n’est sortie des urnes après les élections législatives du 17 septembre en Israël. Le centre et le Likoud (droite) sont au coude-à-coude, la liste arabe unifiée arrive en troisième position, la droite extrême continue de jouer les arbitres et la gauche traditionnelle semble totalement dépassée. La sociologue israélienne Perle Nicolle livre son point de vue sur l’effondrement électoral de cette gauche et les dynamiques à l’œuvre dans la jeunesse, alors que l’ouverture de négociations de paix et la fin de l’occupation des territoires palestiniens n’ont jamais semblé aussi lointaines.

   Ni le bloc de centre-gauche ni celui de droite n’a obtenu les 61 sièges nécessaires pour avoir la majorité absolue à la Knesset. Il va maintenant y avoir un mois et demi de tractations intenses, avec trois options. La première : aucun des partis n’arrive à former une coalition et on retourne à de troisièmes élections à court terme. Deuxième option : la formation d’une grande coalition entre le mouvement Bleu-blanc (centre), le Likoud (droite nationale-libérale) et Yisraël Beitenou (droite nationaliste laïque). Le leader de ce dernier parti, Avigdor Lieberman, appelle une telle coalition de ses vœux.

   Toutefois, cela supposerait que le mouvement Bleu-blanc accepte de rentrer dans un gouvernement avec Netanyahu - rompant avec sa promesse de campagne - soit que le Likoud se débarrasse de Netanyahu, entraînant une crise politique au sein du parti de droite. Troisième option : Netanyahu fait d’énormes concessions à Lieberman. Mais il faudrait, pour cela, que le chef du Likoud soit capable d’obtenir d’énormes concessions de la part des ultra-orthodoxes religieux.

    La gauche a fait un score ridicule. C’est le prix d’une campagne assez violente en ce qui concerne le parti Meretz (socialiste) et complètement déconnectée de sa base concernant le Parti travailliste. Le score de la Liste arabe unifiée est une réussite. La population arabe israélienne s’est fortement mobilisée pendant ces élections, notamment en réaction aux attaques très violentes de Netanyahu. La Liste arabe unifiée devient le troisième parti de la Knesset et pourrait être le premier parti d’opposition.

Depuis les années 1990, la gauche s’effondre électoralement. Comment l’expliquer ?
   L’effondrement de la gauche s’explique par plusieurs phénomènes. D’abord, par la transition, tout au long des années 1990, de structures économiques socialistes vers un pays capitaliste. Israël a été fondé par un mouvement socialiste juif. Le modèle du kibboutz et de son économie participative s’est effondré avec le passage à une économie de marché. Il y a eu, en parallèle, tout au long des négociations des accords d’Oslo et dans les années qui ont suivi, une vague de violences palestiniennes qui ont poussé les Israéliens à se détourner des partis de gauche qui avaient porté l’étendard de la négociation. Enfin, troisième phénomène : il y a eu un changement démographique progressif, avec l’entrée d’un million et demi de réfugiés d’ex-URSS. Sortant d’une économie socialiste soviétique, ils ont grossi les rangs de la droite¨ ...  ( Voir l'article au complet )

 https://www.bastamag.net/Israel-elections-legislatives-Likoud-Netanyahu-Gantz-arabes-israeliens-jeunesse-gauche-Palestine
 
Pégé
  
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dimanche 15 septembre 2019

GÉOPOLITIQUE : Quelles forces en présence dans l’Arctique ?

Salut à tous,

Du site Diploweb.com : Ruée vers les matières premières: un nouvel affrontement international ?

¨ Voici un vaste tableau sur les incidences géopolitiques et stratégiques du changement climatique en Arctique. L’auteure présente d’abord les enjeux militaires et politiques au XXe siècle, puis les antagonismes des pays riverains, enfin les nouveaux paradigmes du XXIe s liés au changement climatique : le passage du Nord-Est, la souveraineté économique et l’accès aux ressources naturelles.      
     
   DEPUIS très longtemps, l’Arctique et le Pôle nord ont fasciné l’imaginaire des explorateurs, des scientifiques, des anthropologues et des ethnologues. Ils ont ensuite attiré les compagnies faisant commerce de peaux, puis des sociétés d’exploitation minière et aurifère, pétrolière ainsi que d’autres ressources, notamment le diamant dont la Russie est devenue au cours de cette décennie le premier producteur mondial (République de Yakoutie).

   Pendant la Seconde Guerre mondiale, puis pendant la Guerre froide, ces régions qui s’étendent de la Sibérie orientale à l’Alaska ont pris une dimension militaire et stratégique. Large de seulement 85 kilomètres, le détroit de Béring cristallise depuis 1947 la confrontation Est/Ouest et ce, d’autant que les zones arctiques sont toujours très militarisées, notamment du côté russe.

Des enjeux stratégiques militaires à des enjeux économiques et commerciaux
   
Au XXième siècle, « les forces en présence » impliquaient principalement les pays riverains, c’est à dire la Russie, le Canada, les États-Unis, le Danemark (en raison du Groenland) et dans une moindre mesure la Norvège (Svalbard). Les enjeux étaient géostratégiques et militaires ; mais avec le réchauffement climatique occasionnant tout à la fois la fonte du permafrost, le recul des glaciers et la fonte de la banquise (réduction spatiale et volumique progressive), les convoitises vers l’Arctique s’accentuent : l’accès aux ressources naturelles et l’ouverture de la voie maritime du passage du Nord-Est attirent désormais de nouvelles puissances pour des raisons économiques et commerciales.

 Le Conseil de l’Arctique : première représentation des populations autochtones
    Un nouvel acteur institutionnel s’est constitué en 1996 (Conférence d’Ottawa) ; le Conseil de l’Arctique. Il traite des problématiques rencontrées par les huit États ayant une partie de leur territoire dans l’espace arctique et permet aux peuples autochtones d’obtenir, pour la première fois, une véritable représentation. Pour la première fois, six associations autochtones ont le statut de participants permanents au Conseil.¨...   ( Voir le dossier au complet )

 https://www.diploweb.com/Quelles-forces-en-presence-dans-l-Arctique.html  

    Pégé
 
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mercredi 11 septembre 2019

CHRONIQUE :«Je» n’existe pas !

Salut à tous,

Du site leQuotidien : « L’être humain n’est qu’une partie d’un tout que nous appelons l’univers. Une partie délimitée dans le temps et dans l’espace. Et par une sorte d’illusion d’optique de sa conscience, il se sent lui-même, avec ses pensées et ses sentiments, comme séparé du reste. Cette illusion est une forme de prison pour nous, car elle nous restreint à nos désirs personnels et à ne manifester notre affection qu’aux rares personnes avec qui nous entretenons des liens étroits. Nous avons donc pour mission de nous affranchir de cette prison en élargissant notre cercle de compassion pour embrasser toutes les créatures vivantes et la nature entière dans sa beauté. »

¨ Ces mots sont d’Albert Einstein et expriment selon moi très bien l’un des principaux défis de notre temps, à savoir la réconciliation de l’être humain avec la nature. D’ailleurs, que ce soit à travers la croyance en un dieu quelconque ou une autre forme de spiritualité, l’être humain a toujours eu le sentiment d’appartenir à quelque chose de plus grand que lui. Chez les Anciens, cette appartenance s’incarnait dans le lien étroit avec la nature, qu’ils avaient l’habitude de considérer comme un « grand vivant ».

   Or, de nos jours, ce lien est rompu. La majorité d’entre nous habitons maintenant en milieu urbain et avons perdu tout contact avec la nature, si ce n’est un week-end à la campagne de temps en temps. Cette rupture du lien avec la nature n’est pas sans conséquence, car non seulement cela entraîne-t-il une augmentation des risques de maladie mentale, mais renforce par ailleurs notre prétention à nous estimer en-dehors et au-dessus de la nature. Un véritable cercle vicieux.
   
   À bien des égards, la modernité a constitué une fabuleuse avancée pour l’espèce humaine, notamment en ce qui a trait à l’amélioration de nos conditions de vie. Nous sommes plus riches et nous vivons plus vieux qu’à n’importe quelle autre époque de l’histoire. Nos possibilités sont quasiment infinies. Pour autant, tout n’est pas rose au pays des Modernes, et force est de constater que ces derniers se sentent de plus en plus perdus et isolés. Les causes sont multiples et complexes, évidemment, mais il ne fait aucun que l’individualisme constitue la source de bien des maux qui nous assaillent.

   En effet, l’attachement excessif à notre individualité, et par extension aux biens matériels que nous possédons, est la source de nombreuses souffrances, à commencer par le sentiment de perte de sens et de repères. Cet isolement spirituel, si je puis dire, mène au désenchantement, et éventuellement à la dépression. Que ce soit sur le plan individuel ou collectif, l’ego surdimensionné nous coupe effectivement d’une partie essentielle de nous-même, à savoir les autres¨...
( Voir l'article au complet )

 https://www.lequotidien.com/chroniques/sebastien-levesque/je-nexiste-pas-2c074f7c9efa56a2c8de50f88ff9158e

Pégé

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vendredi 6 septembre 2019

COMMENTAIRE : Lettre aux élèves en ce début d'année scolaire !

 Salut à tous,

Du site La Presse.ca :Écolières, écoliers, ça y est, c’est fait, vous êtes rentré(e)s. Rentrés dans le grand tunnel scolaire, avec la lumière de juin prochain tout au bout. Dix mois de devoirs et de leçons, d’amis et de cons, de joies et d’ennuis. Vous êtes résignés. Il faut ce qu’il faut. Vos parents vous l’ont assez dit : c’est important, l’école, parce que dans la vie, ça prend un diplôme pour avoir un bon emploi payant. Si vous voulez un bel avenir, à l’école, vous devez réussir.    

   ¨ C’est ainsi que tout le monde vous présente ça  ; l’école, c’est important pour plus tard. On vous vend ça, comme on vous vend un gros traitement chez le dentiste. Ça va faire mal, vous allez avoir des broches, c’est plate, ce ne sera pas facile pour manger du blé d’Inde, mais plus tard, vous allez avoir un beau sourire, vous allez être contents. Endure, en attendant.

   Moi, je veux juste vous dire une chose : n’allez pas à l’école pour plus tard, allez-y pour tout de suite. Peu importe vos notes, l’important, c’est de chanter. L’école, ce n’est pas seulement un avenir, l’école, c’est surtout un présent. Un présent qui dure longtemps. Un présent qui vous mène autour de 20 ans. On ne peut pas vivre tout ce temps en attendant. En attendant que ça finisse. En attendant son DEC ou son bac. En attendant d’être dans le vrai monde. L’école, c’est un vrai monde. N’y allez pas pour vous trouver une place après, allez-y pour vous y faire une place maintenant.
  
   Tous les adultes ont le même regret. On fait tous la même erreur. On va à l’école pour en sortir. Et quand on en sort, on se rend compte que ce n’était pas si mal, finalement. On referait tous le même parcours, autrement. En profitant de chaque journée.

   Car le concept est attrayant. Réunir les enfants en un endroit pour leur apprendre ce que le monde sait. La passation du savoir. Ça a pris des milliers d’années pour que la race humaine comprenne que la Terre est ronde, en un cours, c’est réglé. Il faut juste ne pas être parti aux toilettes. Je sais, on vous bombarde de matières, et vous vous demandez à quoi ça sert. À quoi ça sert le cours d’histoire, si je veux faire médecin  ? Le cours de biologie, c’est pour devenir médecin, le cours d’histoire, c’est pour devenir quelqu’un. Et vous ne serez pas quelqu’un dans 15 ans, vous devenez quelqu’un aussitôt que vous le savez.
   
   Bien sûr, vous pouvez me dire pas besoin d’apprendre autant, j’ai tout dans mon téléphone. Suffit de ¨googler¨. Pas besoin d’apprendre en quelle année est né Léonard de Vinci, il suffit d’aller sur Wikipédia. L’important, ce n’est pas de savoir la date de sa naissance, l’important, c’est de savoir qu’il a existé. Savoir son apport. Pour googler quelque chose, il faut d’abord apercevoir cette chose. En avoir la curiosité. La curiosité n’est pas dans votre cellulaire. La curiosité est en vous. C’est parce que vous êtes curieux de savoir ce que font vos amis que vous le prenez si souvent, votre iPhone. C’est parce qu’on est curieux de savoir ce que font les milliards d’humains que l’on va à l’école.

   Le premier réseau social, c’est l’école !¨...  ( Voir l'article au complet )

 
Pégé

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lundi 2 septembre 2019

La sieste, ce rendez-vous délicieux !

Salut à tous,

Du site leDroit : Faire une bonne sieste semble être une activité de la population non active. Réservée aux enfants en bas âge ou aux personnes âgées. Pourtant, faire la sieste a de nombreux avantages avérés, notamment en milieu professionnel.

¨  Pourtant, faire la sieste a de nombreux avantages avérés, notamment en milieu professionnel. Vingt minutes suffisent à vous recharger. Désormais, lorsque votre patron vous surprendra les yeux fermés au bureau, vous pourrez répliquer : « Si je somnole, c’est pour être plus productif, chef ! ».
  
   C’est ce qu’on appelle vivre à l’heure espagnole. La solution à ces heures « perdues », c’est de faire la sieste. Nul besoin de dormir deux heures, mais chacun y détermine son propre rythme. Pas étonnant de comprendre pourquoi en Espagne on soupe au-delà de 20 h. Leur journée typique a un créneau réservé à la sieste.

    Loin de moi l’idée de vous inciter à « pioncer » un coup dès lundi au travail. Dans les différents pays cités, c’est une culture ancrée depuis des décennies. Ici, dormir au travail risque de vous poser des problèmes, mais le monde entrepreneurial voit de plus en plus la sieste comme une nécessité. Dans certaines compagnies, on fait le pari d’encourager la sieste. Google ou Facebook, par exemple, offrent des cabines obscures et insonorisées pour que ses employés puissent faire la sieste au travail. Un court repos après le dîner augmente la productivité.

   Nos cultures occidentales ont tendance à vouloir camoufler les effets de la fatigue avec du café ou des boissons énergisantes, alors que ça ne règle absolument pas le problème. À l’instar de nos téléphones intelligents qu’il faut recharger en milieu de journée, la sieste est un moment où le corps humain va aussi se recharger. La plupart des études conseillent une vingtaine de minutes. Plutôt que d’errer aléatoirement sur les réseaux sociaux pendant un moment de pause, prendre ce temps pour « siester » est bénéfique. Vous serez plus concentré et reboosté pour le reste de la journée. De même, la sieste permet de terminer les cycles du sommeil, elle régule votre rythme et vous permet de passer des nuits paisibles.
   
   Ce n’est pas par hasard que la sieste est indispensable à nos enfants en ce qui a trait au développement physique et neurologique. C’est donc la solution idéale aux dysfonctionnements quotidiens comme un lendemain de soirée difficile, un enfant qui a le réveil précoce, une fatigue soudaine ou un surmenage au travail.

   De plus, c’est aussi un moment que vous prenez pour vous retrouver. La sieste est un rendez-vous avec soi-même, un moment toujours délicieux. Prendre le temps de s’isoler dans le confort d’un siège, sur la pelouse, dans sa voiture (à l’arrêt), fermer les yeux et s’évader quelques minutes est un plaisir luxueux. Ça ne coûte rien et ça peut rapporter gros.

   La sieste est considérée comme une des habitudes de vie les plus saines de l’être humain. Quoi de plus logique que de l’adopter au Saguenay–Lac-Saint-Jean, la terre des saines habitudes de vies¨.

 https://draft.blogger.com/blogger.g?blogID=8924300371574352681#editor/target=post;postID=4924254701533014900

Pégé

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