dimanche 25 novembre 2018

¨ THANKSGIVING¨ : L`Histoire d`hier et celle d`aujourd`hui...

Salut à tous,

Du site DailyGeekShow : En cette fin d’année, les Américains croulent sous les festivités : Halloween, Thanksgiving et Black Friday annoncent en grande pompe les prochaines célébrations de Noël et du Nouvel An. Au pays de l’Oncle Sam, tout le monde se prépare pour Thanksgiving : les maisons sont décorées, les dindes attendent d’être fourrées, et les bambins se déguisent en pèlerins et en Natifs pour honorer la mémoire de ces grands héros. Ça, c’est la version tous publics servie sur un plateau d’abondance à chaque écolier des États-Unis pour entretenir le mythe du gentil colon blanc-européen.   

 ¨ Le mythe fédérateur !
   Il était une fois les pauvres puritains anglais persécutés par le méchant Roi Jacques Ier. Bien décidés à fuir la tyrannie de l’Église d’Angleterre, ils embarquèrent sur le Mayflower, un navire hollandais qui devait les emporter vers les lointaines contrées du Nouveau Monde. Les pèlerins accostèrent à Cape Cod en décembre 1620 et y fondèrent la colonie de Plymouth. Les colons n’étaient ni des chasseurs téméraires, ni des pêcheurs émérites, et encore moins d’astucieux agriculteurs : perdus dans cette immensité sauvage et offerts en pâture aux vents hivernaux, la moitié d’entre eux périt. Au cours de l’année 1621, les puritains rencontrèrent les Wompanoags, une tribu amérindienne qui partagea ses connaissances avec ces étranges envahisseurs : ils leur apprirent la chasse et la pêche, les sensibilisèrent aux bienfaits des plantes, et leur expliquèrent comment faire pousser des cultures.

    Grâce aux enseignements des Natifs (Native Americans), les Pilgrim Fathers étaient fin prêts à affronter l’hiver mordant de la Nouvelle Angleterre. Pour fêter leur toute première récolte – et accessoirement remercier leurs hôtes de leur avoir sauvés la vie – ils organisèrent un gigantesque festin où se disputèrent parties de chasse, ripailles et divertissements en tous genres ! Pendant ces 3 jours de célébrations, Natifs et Européens oublièrent leur différence pour former un seul peuple, uni par le partage et la charité « chrétienne ». Trop beau pour être vrai ? Vous n’êtes pas loin…
  
Colère divine et génocide !
Les premiers pas des colons sur le continent américain ne furent pas dirigés par le traditionnel rais de lumière divine illuminant la terre promise, mais jalonnés de squelettes, de crânes et de ruines. N’importe qui de normalement constitué aurait vu là un sinistre présage, un funeste avertissement… Mais pas le gouverneur Bradford qui loua le Seigneur de les avoir guidés sur ces terres délestées des leurs propriétaires légitimes. Le timing était parfait : ils posaient le pied sur une Nouvelle Angleterre débarrassée de la quasi-totalité de sa population amérindienne.

Guerre et massacre !
    Le 26 mai 1636, la garnison du capitaine John Mason, épaulée de guerriers Niantics, Mohegans et Narragansetts, attaqua le village fortifié des Pequots en bordure de la Mystic River. Ils brûlèrent le village, bloquèrent les sorties, et mirent le feu aux palissades. Dévorés par les flammes, les Pequots étaient faits comme des rats : quiconque escaladait les portes finissait fusillé. Le brasier ou les balles, ça ne vous rappelle pas Ouradour-sur-Glane ? Ce 26 mai 1636, 500 hommes, femmes et enfants furent exterminés à cause de la couleur de leur peau.

 « Le coût humain et social dépasse l’entendement. Un tel trauma déchire tous les liens qui existent au sein d’une culture. Dans toutes les annales de l’histoire humaine, il n’existe aucune catastrophe démographique comparable »¨...   ( Voir l`article au complet )

https://dailygeekshow.com/thanksgiving-origines-genocide/?utm_source=dlvr.it&utm_medium=twitter

Pégé 


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lundi 19 novembre 2018

NATURE : La ruée vers l'or bleu !

Salut à tous,

 Du site leSOLEIL : Aujourd’hui, 3,6 milliards de personnes vivent dans une région du monde qui manque d’eau, durant un mois ou plus par année. En 2050, leur nombre sera passé à 5,7 milliards. Le monde a soif. Et ce n’est qu’un début. De Los Angeles à Téhéran, en passant par Lima, Le Caire et Phoenix, la grande ruée vers l’or bleu est commencée.   

   ¨ Le 31 janvier, la ville du Cap, en Afrique du Sud, a lancé un cri d’alarme, qui a aussitôt résonné dans le monde entier. Après trois ans de sécheresse, les réserves d’eau avaient atteint un niveau critique. Tellement que dès le 21 avril, le Cap allait devoir couper l’eau du robinet, pour la réserver aux besoins essentiels. Dès lors, les 4 millions d’habitants devraient s’approvisionner dans des points de distribution, répartis sur le territoire.

   Pour éviter le «jour zéro», la population du Cap a dû réduire sa consommation d’eau à moins de 50 litres par jour. À titre de comparaison, le Québécois moyen utilise 424 litres. Un bain en nécessite 150. Une douche? 75. Une laveuse traditionnelle? 150…

Les mégapoles ont soif
Est-ce que les problèmes du Cap constituent un avant-goût du futur? Peut-être. La soif s’annonce particulièrement prononcée dans les villes, où les deux tiers des Humains vont probablement habiter en 2050. Quatorze des 20 plus grandes villes du monde souffrent déjà de problèmes d’eau. En 2015, la mégapole brésilienne de São Paulo a même frôlé la catastrophe. Pour économiser l’eau, la ville de 20 millions d’habitants a dû fermer les robinets 12 heures par jour...

Le nouvel or bleu
En l’espace de 100 ans, les besoins en eau de l’Humanité ont été multipliés par six. Mais cela ne doit pas faire oublier que la consommation domestique (lavage, cuisson, etc.) représente moins de 10 % de l’eau utilisée. En général, c’est l’agriculture (70%) et l’industrie (20%) qui s’arrogent la part du lion…

La folie du blé
Depuis la nuit des temps, l’Humanité a tendance à considérer l’eau comme une ressource inépuisable. Jusqu’à ce qu’elle frôle la catastrophe. L’exemple de la folie du blé en Arabie saoudite le démontre de manière spectaculaire.

 Demain, des guerres de l’eau?
Effarés par l’ampleur des pénuries, certains experts prophétisent déjà que les guerres de l’eau vont remplacer les guerres du pétrole. Ceux-là redoutent le «cocktail» formé par la pénurie d’eau, le réchauffement climatique, l’augmentation des populations et les villes qui grandissent à toute vitesse¨...    ( Voir l`article au complet )

 https://www.lesoleil.com/actualite/monde/la-ruee-vers-lor-bleu-f5b0151d43ae068115d0f5a1c5b0ad90

Pégé


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