lundi 23 décembre 2013

Commentaire : Quand la publicité ¨beurre épais¨ !

Salut à tous,  

Du blogue Les Insolences d`un p`tit vieux :

   ¨Quand on atteint mon âge, on porte un regard sur l’évolution de la société.  Ce qu’elle était et ce qu’elle est devenue.  Ce que nous avons voulu en faire et ce que nous en avons fait.  Parfois avec enthousiasme, parfois avec désolation.  Nantis de ce bilan, nous tentons de prévoir ce qu’il adviendra.  Bien souvent, en se posant des questions comme les suivantes qui décrivent l’omniprésence presque indécente de la publicité.

   Au point où nous en sommes, pourquoi pas le parlement SNC-Lavalin, le poste de police Pizza Hut, l’université Valentine, l’école secondaire Saucisses Lafleur, l’hôpital Coca-Cola et le stade Yellow Shoe store ?  Le tapis rouge se déroule devant toute entreprise commerciale, moyennant quelques millions de dollars dans le financement d’une institution, pour accoler son nom à tout édifice, à toute salle.  Tout comme déjà le légendaire Forum est devenu le Centre Bell, comme le Colisée de Québec est devenu le Colisée Pepsi et le nouvel amphithéâtre affichera le Colisée ou le Centre  Quebecor.

   Une telle visibilité consolidera la notoriété d’une compagnie.  Même Desjardins se décline à toutes les sauces.  Outre les caisses Desjardins, on retrouve des « Maison des Arts Desjardins’, des galeries de peintures Desjardins, un pavillon d’oncologie Desjardins, la salle de conférence Desjardins, le parc Desjardins, la salle de classe Desjardins comme le Pavillon Jean Coutu ou Desmarais et la chaire en tourisme –Air Transat dans les universités.

   Au-delà de l’éthique écorchée, il y a une pollution commerciale à outrance.

  L’Omnium de tennis Rodgers constitue  la démonstration la plus évidente  où tout est objet à la publicité…même le filet. Entre deux services, il y a les trois secondes de Rodgers, des bandeaux au bas de l’écran, les balustrades derrière les joueurs, bardées de réclames. Que ce soit le hockey ou le soccer, la publicité est défilante dans le décor.

   La publicité est omniprésente dans nos vies, dans notre décor et même au-delà.

   De la casquette au T-shirt, du stylo à bille à nos skis, nos sacs de sports, nos parkas même nos espadrilles affichent en grosse lettre le nom du fabricant.  Nous devenons nous-mêmes des panneaux-réclames ambulants.  Les logos de marques de commerce se baladent au gré des bicyclettes Bixi, des taxis, des abribus et les autobus se peinturent aux couleurs des battages publicitaires. Les enseignes aux couleurs illuminées sur les devantures des commerces réussissent à nous éblouir¨...
( Lire au complet )

 http://www.leptitvieux.com/2013/09/quand-la-publicite-beurre-epais/

Pégé

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samedi 7 décembre 2013

Géopolitique : Diviser pour mieux régner !

Salut à tous,  

Du site Le Huffington Post Québec :

   ¨La société médiévale s'équilibrait principalement sur une polarisation Dieu versus le Diable, le bien versus le mal et hérésie versus conformisme, alors que la nôtre est actuellement marquée par une série de clivages politico-idéologiques qui tend à se contrebalancer grâce à la consommation (au sens général) d'un côté et à la dénonciation de l'autre. Cela dit, plus que jamais, la société est canalisée vers des positionnements divergents pour ne pas dire antagoniques.

  Rares sont les individus, ainsi que les discours et récits modérés, pondérés, nuancés. Que les questions soient politiques, sociales, culturelles, environnementales ou économiques, les discussions, pour la plupart, sont concentrées « vers » et monopolisées « par » les extrêmes. 

    Nous pouvons, à cet égard, mentionner le thème des partis politiques et de leurs programmes (entre la gauche et la droite, entre l'interventionnisme et le libre marché) ou encore des idéologies politiques (le meilleur exemple est sans contredit la question de l'indépendance du Québec). Plus récemment, le projet de Charte des valeurs québécoises a engendré un important clivage au sein de la population.

   Mais qu'est-ce qu'un clivage ? Un clivage est un conflit pacifié, certains parlent même d'un conflit bureaucratisé grâce aux différentes zones de régularisation du conflit notamment les espaces politiques (parlement, assemblée, etc.), la sphère familiale (discussions, rencontres, etc.) et les zones médiatiques pasteurisées (presse, télévision, etc.).

    Toutefois, la pratique de la division, malgré ses succès, est un couteau à deux tranchants, car bien qu'elle puisse rallier beaucoup de gens, elle peut également déplaire à plusieurs, dans l'optique où les contextes et situations évoluent rapidement. Sur ce point, l'aspect conflictuel de la charte tend de plus en plus à transcender la simple discussion, le simple clivage symbolique, au point où les répercussions et ses implications tendent à se faire sentir d'un point de vue physique et réel.  

   En somme, en plus des débordements qu'elle peut occasionner, cette stratégie politique du clivage idéologique est tout aussi néfaste sur la qualité du débat. Autrement dit, ce sont généralement les passions et les émotions qui prennent le dessus, et ce au détriment de la raison et de la réflexion. La nuance devient alors un mot étranger, une notion n'a pu sa place sous peine d'être châtié par les deux extrêmes. Après toutes ces années, l'histoire se répète ; malheureusement, nous ne semblons pas apprendre de nos erreurs¨...  ( Lire au complet )

http://quebec.huffingtonpost.ca/yanick-barrette/wedge-politic-diviser-pour-mieux-regner_b_4081019.html?ncid=edlinkusaolp00000003

Pégé  

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vendredi 29 novembre 2013

Commentaire : Combattre... Pourquoi ?

Salut à tous,  

Du journal local Le Quotidien, un commentaire d' un lecteur, Martin Belley, Saint-Nazaire, Lac-Saint-Jean.

   ¨À écouter les gens parler, c' est à croire que tout le monde ou presque combat ou se bat contre quelque chose ! Le monde médial combat la maladie, les religieux combattent les hérétiques. les enseignants combattent l`ignorance, les hygiénistes combattent la ¨malbouffe¨, les policiers combattent les criminels, les pompiers combattent les feux, les environnementalistes combattent la pollution, les travailleurs combattent pour garder leurs emplois, les employeurs combattent la compétition, les gouvernements combattent la pauvreté et le chômage, les sportifs combattent leurs adversaires, les nations combattent d'autres nations, etc.
  
   Mettez-en, çà fini plus de combattre ou de se battre ! Enfin, bien du monde est au ''bat'' et bien du monde se sent battu et parfois abattu. C'est peut être cela qui a inspiré quelqu'un à écrire sur un mur à Québec, et il a été payé pour cela : '' Vous n'êtes pas écoeurés de vous battre bande de caves ''.
  
   Pourtant, au lieu de se battre, le dictionnaire fournit les verbes  appropriés à chaque action : guérir, convertir, instruire, éduquer, arrêter, éteindre, exterminer, créer, éradiquer, dépasser, s'entendre. Mais non, il faut se battre, livrer combat  plutôt que solutionner. Que voulait-il nous dire cet artiste de Québec avec sa maxime qui détonne ? Sûrement voulait-il nous dire de voir la vie autrement qu'un combat. Car se battre, combattre, fait référence à une bataille et dans une plus grande mesure, à la guerre. Çà nécessite de l'énergie négative de colère qui cache de la peur psychologique.
  
   Puis, c'est fatiguant de se battre. Ça fait des dommages collatéraux et ça intoxique les combattants. Ça fait des vainqueurs et des vaincus. mais ça ne solutionne rien, sinon jamais de satisfaction. Que le combat soit avec soi-même ou avec d'autres, ça laisse un goût amer et de l'animosité.
  
   Se battre pour avoir raison ? Ça donne quoi avoir raison si ça ne rend pas heureux ? Ça flatte l'ego et ça le fait grossir. Qui dit combat, dit armes. Que ce soit en pensée ou avec des armes matérielles, le résultat est le même dans l`esprit. La pensée, c`est très puissant et çà l`est davantage lorsqu`elle est devenue une croyance, c`est-à-dire une pensée entretenue.
  
   Une pensée venant seulement du mental, c`est peu lumineux. C`est comme s`éclairer à la chandelle. Si le combat égale la guerre, son contraire, c`est la paix. Une pensée de paix vient de l`intelligence du cœur. Elle est lumineuse et véridique. Combattre, c`est voir un ennemi peu importe la forme et de le tuer du moins en pensée. Il n`y a pas d`autre façon de solutionner un problème que par la lumière intérieure et la vérité.
  
   Celles-ci sont en soient simples et n`ont pas besoin d`être défendues. La défense et l`attaque sont les deux côtés d`une même médaille. Comme pour les plantes, nous n`avons pas à dire à la lumière du soleil quoi faire. L`humilité est de mise. Mais, notre mental qui veut diriger notre vie ne l`entend pas ainsi. C`est seulement un outil à notre service. Mais quand c`est lui qui mène, il ment lamentablement en proposant de faire de la vie un combat plutôt que de vivre l`instant présent, sans peur et sans reproche, mais avec la paix intérieur¨.

Pégé

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dimanche 17 novembre 2013

Géopolitique : Les leçons de l`Histoire... mais que nous oublions, volontairement ou non !

Salut à tous,  

   Pour ceux qui s`intéressent un tant soit peu à l`étude et au suivi de la géopolitique savent bien que la grande majorité des sujets d`actualité que les médias nous présentent régulièrement ne sont que de nouveaux chapitres de faits et de situations déjà vécus, à quelques exceptions près...

¨ Le monde est dangereux à vivre non pas tant à cause de ceux qui font le mal, mais à cause de ceux qui regardent et laissent faire¨ ( Albert Einstein )
 
Le silence des pantoufles est plus dangereux que le bruit des bottes. (Martin Niemöller, 1892-1984)
   ¨Un homme dont la famille faisait partie de l'aristocratie allemande, avant la seconde guerre mondiale, possédait un certain nombre de grandes usines et de propriétés.

   Quand on lui demandait combien d'allemands étaient de véritables nazis, il faisait une réponse qui peut guider notre attitude au regard du fanatisme.
   Peu de gens sont de vrais nazis, disait-il, mais nombreux sont ceux qui se réjouissent du retour de la fierté allemande, et encore plus nombreux ceux qui sont trop occupés pour y faire attention. J'étais l'un de ceux qui pensaient simplement que les nazis étaient une bande de cinglés. Aussi la majorité se contenta-t-elle de regarder et de laisser faire. Soudain, avant que nous ayons pu réaliser, ils nous possédaient, nous avions perdu toute liberté de manœuvre et la fin du monde était arrivée. Ma famille perdit tout, je terminai dans un camp de concentration et les alliés détruisirent mes usines.»
    La Russie communiste était composée de russes qui voulaient tout simplement vivre en paix, bien que les communistes russes aient été responsables du meurtre d'environ vingt millions de personnes. La majorité pacifique n'était pas concernée.
    L'immense population chinoise était, elle aussi, pacifique, mais les communistes chinois réussirent à tuer le nombre stupéfiant de soixante-dix  millions de personnes.
    Le japonais moyen, avant la deuxième guerre mondiale, n'était pas un belliciste sadique. Le Japon, cependant, jalonna sa route, à travers l'Asie du sud-est, de meurtres et de carnages dans une orgie de tueries incluant l'abattage systématique de douze millions de civils chinois, tués, pour la plupart, à coups d'épée, de pelle ou de baïonnette.
   Et qui peut oublier le Rwanda qui s'effondra dans une boucherie. N'aurait-on pu dire que la majorité des Rwandais était pour «la Paix et l'Amour»?
   Les leçons de l'Histoire sont souvent incroyablement simples et brutales, cependant, malgré toutes nos facultés de raisonnement, nous passons souvent à côté des choses les plus élémentaires et les moins compliquées : les musulmans pacifiques sont devenus inconséquents par leur silence.
   Aujourd'hui, des «experts» et des «têtes bien pensantes», ne cessent de nous répéter que l'Islam est la religion de la paix, et que la vaste majorité des musulmans ne désire        que vivre en paix.  Bien que cette affirmation gratuite puisse être vraie, elle est totalement infondée.  C'est une baudruche dénuée de sens, destinée à nous réconforter, et, en quelque sorte, à diminuer le spectre du fanatisme qui envahit la Terre au nom de l'Islam.
Ce sont les fanatiques qui posent des bombes, décapitent, massacrent ou commettent les crimes d'honneur. Ce sont les fanatiques qui prennent le contrôle des mosquées, l'une après l'autre.  Ce sont les fanatiques qui prêchent avec zèle la lapidation et la pendaison des victimes de viol et des homosexuels. La réalité, brutale et quantifiable est que la «majorité pacifique», la «majorité silencieuse» y est étrangère et se terre.
    Les musulmans pacifiques deviendront nos ennemis s'ils ne réagissent pas, parce que, comme mon ami allemand, ils s'éveilleront un jour pour constater qu'ils sont la proie des fanatiques et que la fin de leur monde aura commencé.
   Les Allemands, les Japonais, les Chinois, les Russes, les Rwandais, les Serbes, les Albanais, les Afghans, les Irakiens, les Palestiniens, les Nigériens, les Algériens, tous amoureux de la Paix, et beaucoup d'autres peuples, sont morts parce que la majorité pacifique n'a pas réagi avant qu'il ne soit trop tard.
   Quant à nous, qui contemplons tout cela, nous devons observer le seul groupe important pour notre mode de vie : les fanatiques.   
   «Quand ils sont venus chercher les communistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas communiste.
   Quand ils sont venus chercher les Juifs, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas Juif.
   Quand ils sont venus chercher les syndicalistes, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas syndicaliste.
   Quand ils sont venus chercher les catholiques, je n'ai pas protesté parce que je ne suis pas catholique.
   Et lorsqu'ils sont venus me chercher, il n'y avait plus personne pour protester.»¨.
Pégé
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mardi 12 novembre 2013

Réflexion : Le doute... un loup pour l`homme !

Salut à tous, 

Extrait du journal local Le Quotidien, un excellent commentaire du journaliste Joël Martel :

   `C`est un homme sans histoire. Le type travaille dans une espèce de CPE et tous les enfants l`adorent. Il a toujours l`énergie et le temps de jouer avec eux. La vie est belle quoi.
   Et puis, par un beau matin, sa patronne l`avertit qu`une plainte à son égard est présentement sous étude. Comme le gars n`a absolument rien à se rapprocher quand à ses agissements, il s`inquiète quand même un peu mais se dit que ça n`ira certainement pas plus loin.
   Or le mal est déjà fait...
   Voilà la prémisse du long-métrage La chasse (Jagten), mettant en vedette le comédien Mads Mikkelsen. Le film est superbement réalisé mais surtout, il invite le spectateur à se plonger dans une réflexion troublante.
   Car tout au long du film, une question vient nous hanter, pour ensuite nous habiter au cours des jours suivant : une fois que le doute s`est installé, est-il possible d`en faire abstraction ?
   La question est troublante car, à bien y penser, chaque jour on parle de vous, vous n`avez aucun contrôle sur ce qui sera dit à propos de vous. Vous devenez malgré vous le personnage d`un film, et vous n`avez aucun mot à dire sur la nature du rôle que vous tiendrez, sur le scénario comme pour le montage.
   Par exemple, çà peut être un de vos collègues qui raconte à sa femme un truc anecdotique et comme vous étiez sur les lieux, il fera  mention de vous, et de fil en aiguille, sa femme en profitera pour prendre des nouvelles de vous. Et comme votre collègue est plus ou moins d`humeur bavarde, il fournira alors le strict minimum. Et là, qui sait, peut être que sa femme interprétera cela comme une espèce de fuite et à ce moment là, sans aucune raison, le doute s`installera. Du jour au lendemain, vous deviendrez à ses yeux une menace à sa vie conjugale. Vous riez, mais c`est le genre de trucs qui arrive tous les jours.
   Ce qui donne le vertige dans tout çà, c`est que le doute est contagieux.
   Si je vous demandais : Penses-tu que Ginette X pourrait avoir une liaison avec Laurent X, le mari de Denise X ? Et je ne suis pas prêt à parier que même s`il s`agissait de l`hypothèse la plus débile que vous ayez entendue, ce sera plus fort que vous. Dans les jours qui viendront, vous ne pourrez pas résister et vous finirez par demander  à l'un de vos amis s` il pense que Ginette couche avec Laurent. Probablement aussi qu`afin de ne pas avoir l`air de la personne qui colporte de fausses informations, vous utiliserez la bonne vieille formule qui consiste à rigoler en disant : ¨Imagine-toi que quelqu`un m`a sérieusement demandé si je pensais que Ginette couchait avec Laurent¨. C`est ainsi que le doute se propage.
   Évidemment, dans un monde idéal, la vérité finirait par triompher de tout çà, mais dans le monde dans lequel nous vivons,, n`a rien de bien idéal. Vous auriez beau faire revenir la vie à l`homme dont on vous a faussement accusé du meurtre afin qu`il rétablisse les faits, vous demeurerez toujours aux yeux des autres ce gars qui a peut être tué quelqu`un.
   Les choses ne risquent pas de s`améliorer au cours des années à venir car le doute a maintenant la vie encore plus facile qu`il l`a eue auparavant. Comme la planète est désormais connectée, une affirmation, qu`elle soit fondée ou non, peut faire le tour de la boule une dizaine de fois en l`espace de quelques heures seulement. C`est peu dire mais nous sommes plus fragiles que jamais. Du même coup, nous sommes tout aussi de potentielles armes de destructions massives. Que ce soit par mots ou par clics, nous sommes collectivement à la merci des autres. J`en conviens, çà peut sembler ¨parano¨, mais c`est loin d`être faux.
   Mais ce qui est le plus cruel, c`est que le jour où l`on réalise qu`on a participé d`une façon ou d`une autre à un lynchage injustifié, on ne peut pas se mentir à soi-même afin de s`alléger la conscience. Le doute déclare forfait pour laisser toute la place à la vérité. Et la vérité, elle est sans pitié.
  
C`est pour çà qu'on ment parfois... Et c`est pour çà qu`on doute !¨.

Pégé

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mercredi 6 novembre 2013

Le Devoir de philo - Marx, cet écologiste méconnu !

Salut à tous,  

Du site Le Devoir, par Florent Michelot :

   ¨Projet d’extraction du pétrole d’Anticosti, passage en force pour construire la minicentrale de Val-Jalbert, maintien du Plan Nord… Voilà une triste litanie pour ceux que les préoccupations environnementales invitent à renier la stratégie de courte vue qui a longtemps primé.  
   Considérant les réalités environnementales qui ne sont plus guère contestées que par quelques iconoclastes, ces points de crispation ne feront que s’accroître dans un avenir proche. Dans ce domaine, la gestion de l’urgence n’est certainement pas la meilleure conseillère.

   Ainsi, plutôt que d’aborder les problématiques d’environnement à la pièce, un cadre de réflexion structurant peut être trouvé chez Karl Marx, dont la pensée comporte de solides éléments de réponse sur le plan analytique, méthodologique et idéologique.

 L`illusion du capitalisme vert !

   En effet, l’idée d’une décroissance ne tient pas compte de l’ensemble de l’effort gigantesque qu’il faudra concéder pour accomplir la nécessaire transformation écologique. Bref, dans un cas comme dans l’autre, du consumérisme à l’ascèse, il y a cette voie médiane du bonheur juste et raisonné que constitue la pensée d’Épicure, à laquelle a adhéré le jeune Marx.

Une planification d’essence marxienne !

   Pour parvenir à ce grand objectif, un préalable marxien serait de reconnaître que les rapports sociaux actuels, produits du capitalisme, sont une contrainte, une gangue, dont il faut préalablement assurer le dépassement.

Le concept de durabilité !

    Pour réaliser ce défi exaltant d’ingénierie, la puissance publique aurait ainsi comme responsabilité de mettre à la disposition des secteurs public, privé et surtout de l’économie sociale et solidaire, des outils pour parvenir à ces nouvelles orientations.

Un défi technologique stimulant !

   Sans nul doute, aujourd’hui, Karl Marx représenterait donc un écologisme moderne et serait tout à fait exalté par ce qu’impliquerait le projet de transition écologique, particulièrement sur le plan des sciences.
   Si tant est que le besoin énergétique soit réel, plutôt que l’absurde harnachement de la Romaine il verrait dans l’exploitation des forces marémotrices ou de la géothermie profonde un défi technologique stimulant¨... (Lire au complet)

 http://www.ledevoir.com/societe/le-devoir-de-philo/375590/marx-cet-ecologiste-meconnu

Pégé
  
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mercredi 23 octobre 2013

Réflexion: La banalité du mal s'incarne-t-elle dans la corruption ?

Salut à tous,  

« La triste vérité est que la plus grande part du mal est faite par des gens qui ne se sont jamais décidés à être bons ou mauvais ».  (Hannah Arendt)

Du site du journal Le Devoir : Le Devoir de philo !

   ¨Eichmann « n’était pas stupide, il était inconscient — ce qui n’est pas du tout la même chose — et seule son inconscience lui a permis de devenir un des principaux criminels de son époque ». [Eichmann à Jérusalem, Rapport sur la banalité du mal, Ed Gallimard, 1966, p. 314]

   La sortie du film Hannah Arendt sur sa couverture du procès d’Eichmann à Jérusalem nous invite fortement à repenser sa thèse de la « banalité du mal » dans le contexte actuel. Cette dernière nous dit qu’« il est dans la nature même du totalitarisme, et peut-être de la bureaucratie, de transformer les hommes en fonctionnaires, en “rouages” administratifs, et ainsi de les déshumaniser. Le phénomène politique, connu sous le nom de bureaucratie, c’est le règne de personne. [p. 463] »
 
   On a pu constater chez Alexandre Duplessis, Michael Applebaum, ou encore l’ancien ministre français du Budget Jérôme Cahuzac une froideur et un déni des accusations, comme si ces derniers ne pouvaient reconnaître leurs torts.

* Surspécialisation du travail !

   La segmentation du travail des cols blancs, comme le décrit très bien le philosophe Matthew B. Crawford dans son Éloge du carburateur, engage ces derniers dans une « routinisation » et conduit à une faible valorisation des tâches effectuées [cf. Josée Blanchette, La revanche des manuels]. C’est comme si l’ouvrier de Charlie Chaplin, vissant des boulons toute la journée [cf. Les temps modernes], se retrouvait aujourd’hui devant son ordinateur avec une souris dans la main à la place de la clé de vis. 
 
* Négation des impacts collatéraux !
   
   Si un individu atteint une situation professionnelle où sa marge de liberté et de créativité est plus grande, et où son pouvoir décisionnel est par conséquent plus fort, il lui sera fort facile de légitimer son action par sa participation à une cause, qu’elle soit sociale ou écologique. 
 
* La pensée à court terme !
 
     La capacité que nous avons collectivement de reporter la faute sur les individus qui sont à des niveaux différents de responsabilité dans la pyramide sociétale est intéressante à analyser. Dans le champ économique, par exemple, il a été démontré que le producteur doit agir selon la fameuse loi de l’offre et de la demande s’il souhaite que son commerce soit rentable.  
 
* Comprendre pour soigner !
 
    De fait, la conduite de nos maires, avocats et entrepreneurs est déterminante avant tout pour l’éthos d’une société. Si elle est corrompue — nous l’avons compris —, elle mène à un certain cynisme. Pourquoi ? Parce que cette corruption, même si elle n’est pas nouvelle, nous montre aujourd’hui plus que jamais les travers de notre système politique et économique, dont il est difficile de se départir¨...
(Lire au complet)  
 
Pégé


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samedi 12 octobre 2013

Économie : Produire ou consommer ?... un point de vue !

Salut à tous,  

Du blogue Libredeconsommer :

   ¨La consommation est une activité vile. Il s’agit de destruction de ressources, et cela implique peu d’habiletés. Elle est accessible à n’importe quel porteur d’un moyen de paiement. Il n’y a vraiment pas de quoi être fier d’acheter.

   Comment parvenir à pratiquer une telle activité dans un minimum de confort psychologique?
  
   Une approche efficace consiste à requalifier la consommation en production. Prenons exemple sur un maître en la matière : l’éminent sociologue américain George Ritzer. Dans une entrevue accordée à une revue scientifique (1), il a été amené à se prononcer sur l’apparente contradiction entre l’abondance dans laquelle il vit et sa critique de la consommation (il est notamment l’auteur de McDonaldization of Society). Ce qu’il a fait de bonne grâce, et avec brio.

   Pour le sociologue, acquérir des objets n’est pas une fin en soi, mais un moyen de vivre de la manière qu’il souhaite. Donc, ce n’est pas ce qu’il consomme mais comment il le consomme qui lui permet d’esquiver ses propres critiques.
  
   Par exemple, sa maison dans le Maryland lui permet de profiter de l’extérieur quotidiennement. Sa maison en Floride lui offre le luxe de pratiquer une de ses activités favorites en plein hiver : la marche. Il faut dire que dans le Maryland, en janvier, les températures atteignent le point de congélation.

   Mais voici l’argument massue de Ritzer : comme il travaille régulièrement dans l’une ou l’autre de ses trois maisons, celles-ci deviennent un lieu de travail. Impossible alors de lui reprocher d’acheter quoi que ce soit pour se construire un milieu de travail confortable et stimulant.

   Tous ceux qui travaillent dans leur foyer disposent là d’une arme rhétorique imparable. Une partie importante de ce qu’ils consomment peut se justifier comme moyen de production. Ils peuvent donc vivre dans un enviable confort psychologique.
 
   Heureusement, une pirouette intellectuelle similaire est à la portée de tous. On n’acquiert pas des objets de consommation, mais des outils du quotidien. Par exemple, une personne s’achète un VUS pour conduire ses enfants à l’école en sécurité. Parce qu’ils le valent bien. Et chaque bordée de neige lui donne raison.

   Il est moralement inattaquable de produire ou, plus prosaïquement, d’acquérir des outils du quotidien. Alors, pourquoi se priver de sublimer la consommation par une petite astuce rhétorique? De cette manière, on peut même justifier d’utiliser les revenus issus de ventes de livres qui critiquent la consommation pour consommer davantage¨.

Pégé

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mercredi 2 octobre 2013

Témoignage : Je me souviens !

Salut à tous, 

Voici un long mais intéressant témoignage d`une dame, de son vécu au Québec, à la période où la religion catholique imposait ses dictats à la société, et son désir de ne pas devoir revivre cette période grâce aux autres religions et leurs contraintes, apportées par les nouveaux citoyens d`autres pays...

  ''J'aurais voulu aller rencontrer ces femmes musulmanes à Hérouxville pour partager leur culture et leurs recettes, mais surtout pour profiter de l'occasion de leur expliquer notre devise je me souviens
Je me souviens que, dans mon jeune âge, nous ne pouvions pas entrer à l'église sans avoir un voile ou un chapeau sur la tête. À cette époque, je me souviens
 aussi que c'était aussi un péché mortel de manger de la viande le vendredi.
Dans la même décennie, je me souviens que ma mère a été chassée de l'Église parce qu'après avoir mis au monde quatre enfants, elle ne voulait plus en avoir d'autres. 
Je me souviens que pour cette raison, le pardon de ses fautes lui était refusé
par l'Église à moins qu'elle ne laisse 
son corps à son mari, avec ou sans plaisir, au  risque d'atteindre la douzaine.
Je me souviens qu'elle a refusé et qu'elle a quitté l'Église comme beaucoup d'autres femmes de sa génération. 
Je me souviens que ma mère s'est  ensuite
 séparée de mon père et que nous sommes devenus la cible des regards et des commentaires désobligeants de notre paroisse. 
Cependant je me souviens qu'à la suite de sa
 séparation, nous avons vu le collet romain sur la table de nuit. Le prêtre voulait-il tester les moyens de contraception de l'heure ? Dans la même décennie,  je me souviens que la cousine de ma mère a obtenu le divorce et qu'elle a reçu du même coup son excommunication de Rome.
Je me souviens que quelques années à peine avant ma naissance, les
 femmes ont obtenu le droit de vote et en même temps le droit d'être considérées comme des citoyennes à part entière dans la société.
Je me souviens que lorsque j'étais jeune, nous devions nous aussi, comme pour les religions musulmane et autres, prier sept à huit fois
 par jour. La messe à tous les matins, une prière avant le déjeuner, une prière en entrant en classe, une au diner sous le coup de l'Angélus, une autre avant la classe de l'après-midi, les grâces au souper, le chapelet en famille avec le  Cardinal Léger et une dernière prière avant d'aller au lit. Il y avait le mois de Marie, les Vêpres, etc..  Nous avions aussi de longues périodes de jeûne avant Noël (l'Avant), avant Pâques (le Carême). Je n'ai pas dit non plus que nous devions porter le deuil durant un an et moins selon le degré de parenté de la  personne décédée.
Je me souviens que, tour à tour, ma mère et ma belle-mère ont vu une opération urgente
 retardée en attendant que leur mari respectif, de qui elles étaient séparées de fait et non légalement, appose sa signature pour autoriser leur  intervention chirurgicale. 
Devenue adulte, je me souviens que grâce aux  pressions de la génération précédente, j'ai eu accès aux premiers moyens de contraception qui m'ont permis de
 restreindre le nombre de mes propres rejetons.
Je me souviens aussi qu'il n'était plus un péché de manger de
 la viande le vendredi. Je ne sais pas ce qui est arrivé à ceux qui sont allés en enfer. J'espère qu'on les a rapatriés. 
Devenue adulte, je me souviens avoir travaillé dans des environnements traditionnellement réservés aux hommes. je  me souviens des frustrations de ne pas avoir été traitée
 au même titre que les hommes dans les entreprises et surtout dans la vie en général. 
Je me souviens qu'après avoir eu un fils, je ne voulais plus d'autres enfants de peur que ce ne soit des filles, par solidarité et parce que le travail qui restait encore à faire pour atteindre l'égalité était énorme. Je me souviens des efforts que beaucoup de femmes ont dû déployer pour se faire
 reconnaître et pour obtenir des postes administratifs de haut niveau. Je me souviens du militantisme de beaucoup de femmes qui ont travaillé d'arrache-pied pour obtenir l'équité dans notre pays comme politicienne, au sein des chambres de commerce, des syndicats, du Conseil du statut de la femme, etc.
Je me souviens qu'il a fallu plus de cinquante ans d'efforts collectifs pour nous
libérer de l'emprise de l'Église et de la religion sur nos vies. Je me souviens qu'il a fallu plus de soixante ans (1940 à 2006) pour obtenir l'équité salariale et que ce n'est pas encore fini. Mes soixante ans font que je sais que rien n'est acquis dans la vie et qu'il faut maintenir voire redoubler nos efforts pour ne pas perdre le résultat de tous ces labeurs. Je ne suis pas raciste, cependant, lorsque je vois d'autres ethnies, imprégnées par leur religion contrôlante, vouloir s'imposer dans notre société, j'ai peur. J'ai peur parce que ces hommes et ces femmes ne savent pas quel chemin nous avons parcouru. De plus, les jeunes Québécoises qui embrassent cette religion qui voile les femmes ne se souviennent pas. C'est donc par ignorance qu'on explique leur choix. Aucun animal dans la nature à part l'homme, n'habille sa femelle par-dessus la tête. Je suis maintenant une grand-mère de quatre merveilleuses petites filles et j'ai peur. J'ai peur lorsque je vois une femme voilée travailler dans un CPE ou dans nos écoles ou encore lorsqu'on y laisse un enfant porter le Kirpan. Nous nous sommes débarrassés de tous ces symboles religieux et voilà qu'ils reviennent à l'endroit même où l'éducation de notre nouvelle génération est cruciale et à la période à laquelle on doit inculquer les principes fondamentaux de vie en société à nos enfants. La tolérance envers ces symboles religieux que sont le voile, le Kirpan, le turban dans les CPE, dans nos écoles et dans nos institutions en général est un manque de respect pour les générations précédentes qui ont travaillé si fort pour se retirer de l'emprise de la religion sur nos vies. Vous ne vous souvenez pas ! Moi,  je me souviens et à  cet égard, je n'ai aucune tolérance et je ne veux aucun accommodement par 
respect pour ma mère, ma tante et pour mes petites filles.
Je me souviens que la charte des droits et libertés permet à  chacun de pratiquer la religion de son choix, mais de grâce que cette religion demeure dans la famille. Le port du voile dans la  religion musulmane est pour nous la
démonstration la plus importante de la soumission de la femme et  c'est cela qui nous fait peur et qui nous choque parce qu'on se souvient.
 
On se souvient que ce symbole existait il y a cinquante ans et on ne veut pas revenir en arrière. 
Je me souviens surtout que lors de la Révolution tranquille, les communautés religieuses ont suivi tout naturellement l'évolution de notre société en se laïcisant. Elles ont troqué, sans qu'on le leur impose, leurs grandes robes noires et leurs voiles
 dans le  cas des femmes pour des habits civils sans pour autant renier leur foi et sans cesser de prier. Plusieurs de ces personnes sont encore vivantes aujourd'hui. Doit-on leur dire qu'elles ont évolué à tort et  qu'elles ont fait tous ces efforts pour tomber dans l'oubli? Que l'on prie Jésus, Mahomet ou Bouddha m'importe peu, mais nous nous sommes battus, québécois et québécoises, pour que notre société soit laïque. Nous 
nous sommes battues, québécoises, pour obtenir l'égalité du droit de parole entre les hommes et les femmes autant que pour l'égalité des chances au travail. 
Souvenez-vous que si vous avez immigré au Canada et surtout au Québec, c'est pour faire partie d'une société ouverte qui vous donne sur un plateau d'argent tous  les acquis que les générations
 précédentes ont obtenus particulièrement au  chapitre des droits des femmes. Je veux croire aussi que c'est par ignorance de nos traditions et de nos coutumes et  non par manque de respect que les femmes musulmanes veulent montrer au grand jour voir imposer ce symbole de leur croyance qu'est le voile. Peut-être que notre société va trop loin avec ses libertés. Mais, le balancier doit s'arrêter au milieu et non régresser jusqu'au point de départ. Il faut se souvenir. L'intégration à une société commence par le respect de ses traditions et de ses coutumes ainsi que par le respect envers ses citoyens et citoyennes qui ont participé à  l'exercice. Peut-être que nos livres d'histoire ne se souviennent pas ou bien qu'ils n'ont simplement pas été mis à jour. C'est donc la responsabilité du gouvernement d'appliquer notre devise «je me souviens » à notre Histoire et d'intégrer à cette Histoire les efforts de nos générations précédentes pour atteindre la société d'aujourd'hui et surtout de s'assurer que la génération montante s'en souvienne. C'est aussi la responsabilité des organismes  d'accueil aux immigrants de leur faire connaître cette devise du Québec « je me souviens » afin que ces nouveaux arrivants ne pensent pas que nous sommes racistes  simplement parce que l'on s'en souvient et qu'on ne veut pas imposer à notre progéniture d'avoir à reprendre les mêmes débats qu'il y a cinquante ans. En terminant, pour commenter le sondage du journal La Presse d'hier sur les musulmans heureux de vivre chez nous, je dis que même et surtout si les femmes voilées que l'on retrouve dans les CPE ainsi qu'ailleurs dans nos institutions font partie de cette majorité heureuse de vivre en notre terre, alors cette majorité m'incommode pour tous les arguments que j'ai soulevés précédemment¨.

 
                

 
Grand-mère Johanne Chayer 1865, 8e avenue Montréal(Québec) HIB 4H7 Téléphone: (514) 645-0745



 Pégé


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samedi 28 septembre 2013

Économie : Payez comptant... et soyez content !

Salut à tous, 

Un article du journal local Le Réveil, paru dans le supplément Semaine des ainés !

   ¨À l`heure où le surendettement des ménages atteint des sommets inégalés, il y a peut-être lieu de réévaluer notre rapport à la société de consommation et de l`arrimer à celui de nos ainés.

   Nos ainés semblent un peu démodés aux yeux de certains en raison de leur façon d`épargner avant d`acheter plutôt que d`adhérer à la philosophie en vogue qui consiste à succomber à toutes les tentations en matière de consommation, en achetant maintenant et en payant plus tard.

   Or les jeunes et les parents d`aujourd`hui auraient tout avantage à imiter leurs grands-parents sur le plan des finances personnelles.

   Jadis, l`épargne était une étape incontournable du processus d`acquisition d`un bien. Les meubles et les électroménagers étaient habituellement payés comptant, au complet, alors que les produits plus coûteux, une automobile par exemple, étaient payés en bonne partie en argent, le reste étant financé sur quelques années.

   Le seul paiement mensuel d`un ménage était souvent l`hypothèque de la maison. De plus, les familles disposaient d`un coussin pour les imprévus et réussissaient à mettre de l`argent de côté pour la retraite.

    Aujourd`hui, on se procure plusieurs biens sans en payer un seul sou comptant au moment de l`achat et l`on se retrouve ainsi avec de nombreux paiements mensuels qui ajoutent à nos dépenses quotidiennes, jusqu`à nous empêcher de souffler. Impossible ainsi de nous constituer un coussin financier, et encore moins d`investir dans des placements en vue de nos vieux jours.

   À l`heure où le surendettement des ménages atteint un sommet inégalé, il y a peut être lieu de réévaluer notre rapport à la société de consommation et de l`arrimer à celui de nos ainés.

Comment ?

   En adoptant une de leurs multiples règles guidées par le gros bon sens, vivre selon nos moyens ! Ainsi, l`argent ne sera plus une source de stress mais plutôt un outil de sécurité financière.

   ¨Les jeunes et les parents d`aujourd`hui auraient tout avantage à imiter leurs grands-parents en matière de finances personnelles¨...

Pégé


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mercredi 18 septembre 2013

Des religions et des hommes... et les femme ?

Salut à tous,  

Du site Courrier Laval, un intéressant témoignage d`une algérienne venue s`établir au Québec, et qui explique les problèmes reliés à une religion où l`homme régit les lois à sa guise, réduisant la femme à l`état de servante !

   ¨Ce qui suit est un témoignage de mon cheminement personnel où deux existences cohabitent et illustrent ma vie.
La première, durant laquelle j’ai été contrainte de vivre sous des lois religieuses servant de bouclier à la lâcheté des hommes qui ont fait de moi une mineure à vie.

Des tromperies théocratiques et idéologiques !

   Dans mon pays de naissance, je devais continuellement prouver que je méritais ma place contrairement aux hommes, qui par la révélation divine, sont supérieurs aux femmes.

   En Algérie, pour soumettre la femme algérienne et toute la société au diktat du pouvoir en place, celui-ci s’appuie sur un triptyque dont les trois fondements sont indissociables: le code de la famille basé sur la Chari’a, l’école fondamentale et la construction des mosquées.

L’Histoire se répète: un déjà vu et un déjà vécu !

   Depuis un peu plus de trois ans, j’ai l’impression d’un déjà vu, d’un déjà vécu. Cela commence toujours par des demandes anodines, généralement des espaces de prières, des aménagements qui ne devraient déranger personne. C’est ainsi, avance l’islamisme doucement, mais sûrement.

   Il faut toujours avoir à l’esprit que l’idéologie islamiste n’a pas de frontière. Les islamistes vivent dans des pays sans frontière ou plutôt la seule frontière qu’ils dressent est celle de leur idéologie puisée dans des versets qui n’ont plus droit de cité.

Le voile est politique !

   Pour certaines femmes, le voile marque leur adhésion à l’islamisme et pour celles qui y sont forcées c’est leur étoile jaune. Cela s’appelle de la discrimination basée sur le sexe. Le port du voile est politique. C’est l’assujettissement des femmes par l’islam politique pour les culpabiliser des idées malsaines qui traversent l’esprit des islamistes à la vue de leur chevelure et de leur corps.

   Quand des femmes et des hommes vivant confortablement dans les sociétés sécularisées depuis des lustres nous demandent au nom du multiculturalisme et de l’interculturalisme et de la Charte des droits et des libertés, d’accepter une telle offense, j’appelle cela de la collaboration avec le fascisme religieux qui s’exerce sur le corps des femmes¨... (Lire au complet)

http://www.courrierlaval.com/Opinion/Tribune-libre/2011-03-31/article-2385741/Discours-de-Leila-Lesbet/1

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Du site La Presse :Un juste retour des choses ! 
 
   ¨Ma famille et moi avons fui la guerre entre les Russes et les moudjahidines en Afghanistan. Le Québec nous a accueillis, nous a enseigné sa langue, ses façons de faire et son ouverture d’esprit. Même si je suis contre le moyen par lequel la charte des valeurs québécoises a été amenée, je suis pour les principes qu’elle défend, et voici pourquoi.

   Les immigrants des pays arabo-musulmans quittent leur pays natal souvent à cause des situations politiques difficiles. Ces situations sont parfois causées par un islamisme rigide et mal interprété; c’est le cas en Iran, en Afghanistan, dans les pays du Maghreb, en Arabie saoudite¨... (Lire la suite)

http://plus.lapresse.ca/screens/4119-e58c-523721e1-86dc-364eac1c606a%7COffz.8_ILehJ

Pégé

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dimanche 1 septembre 2013

Géopolitique : Accord commercial Trans-Pacifique...souveraineté canadienne menacée ?

Salut à tous,  

   Les traités de libre-échanges sont à la mode présentement... mais un danger persiste toujours dans ce genre de partenariat, c'est que la plupart du temps, la nation la plus forte du groupe parvient presque toujours à imposer ses lois qui la favorise le plus, au détriment des autres signataires.

    Ici, au Canada, nous avons de malheureux exemples de ces abus de pouvoir avec notre puissant voisin, les États-Unis, et l'histoire relativement récente du bois d'œuvre a laissée un goût amer parmi de nombreux entrepreneurs  canadiens...

Du site Médecins sans frontières : Les négociations de l’accord commercial transpacifique s’intensifient !

   ¨De grande envergure, l’Accord de Partenariat transpacifique (PTP) devrait être un moyen d’améliorer la situation sanitaire pour plus d’un demi-milliard de personnes dans 12 pays concernés par le pacte. Au lieu de cela, les pays négociateurs se préparent à conclure une entente qui, en fait, limiterait l’accès aux médicaments abordables et la capacité des gouvernements à protéger la santé de leurs populations, avertit Médecins Sans Frontières (MSF).

   « Malgré une opposition tenace pendant plus de 18 mois de la part de ses partenaires commerciaux, le gouvernement des États-Unis refuse de renoncer à ses exigences touchant aux règles de propriété intellectuelle (PI) visant à empêcher l’accès en temps voulu à des médicaments génériques abordables, » déclare Stephen Cornish, directeur exécutif de MSF Canada.

  Les États-Unis veulent empêcher les gouvernements des pays en développement de contrôler l’octroi abusif de brevets ou de limiter à 20 ans la durée de validité des brevets approuvée au niveau international. Ces efforts remettent en cause les engagements antérieurs du gouvernement américain de concilier les intérêts pharmaceutiques commerciaux et ceux des populations des pays en développement en matière de santé publique. »¨... 

(Lire au complet)   http://www.msf.ca/fr/actualites-media/nouvelles/2013/08/msf-urges-countries-not-to-trade-away-health/

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Du site Parti vert du Canada : Partenariat transpacifique: Déclaration commune !

    ¨En tant que partis politiques parlementaires verts de sept nations en pourparlers pour l’Accord de partenariat transpacifique, nous publions une déclaration commune pour exprimer notre inquiétude quant à la nature fondamentalement antidémocratique et obscure de cet accord.

   Le chapitre portant sur les investissements, qui a fait l'objet d'une fuite, inquiète particulièrement les Verts, puisqu’il rappelle à quel point cet accord pourrait menacer la capacité des gouvernements à fonctionner de manière efficace.

   En effet, le Partenariat transpacifique va bien au-delà du simple accord commercial et comprend des dispositions qui pourraient empêcher la population d'accéder à des médicaments sécuritaires et abordables, affaiblir les règlements qui régissent le contenu des médias, freiner l’innovation dans le domaine de la haute technologie et restreindre la capacité des gouvernements futurs à légiférer pour le bien de la santé publique et de l’environnement¨... (Lire au complet)

http://www.greenparty.ca/fr/statement/2012-08-23/partenariat-transpacifique-d-claration-commune

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Du site Bilaterals.org : Partenariat transpacifique (PTT)... Le Terrible Plan ploutocratique !

   ¨Je remercie Michæl Feikema et Doug Hendren, pour leur invitation. Comme la plupart d’entre vous, je ne passe pas ma vie à étudier les accords commerciaux, mais le Partenariat Trans-Pacifique (dont le sigle anglais est T.P.P.) est suffisamment inquiétant, pour m’avoir forcé à y consacrer un peu de temps, aussi j’espère que vous en ferez de même, que vous convaincrez vos voisins d’en faire de même, enfin que vous les convaincrez de convaincre leurs amis d’en faire de même – dès que possible.

  Je passe le plus clair de mon temps à lire, et écrire, des livres qui ont pour sujets la guerre et la paix. Je suis en plein travail de rédaction d’un ouvrage qui réfléchit à la possibilité, et la nécessité, d’abolir la guerre, et le militarisme. Interrompre ce travail ne me réjouit guère. Mais si nous pensons que libre-échange et militarisme sont deux sujets distincts, nous nous racontons des histoires.

   Thomas Friedman, le chroniqueur du New York Times, est un fervent admirateur des prétendus prodiges que la main invisible de l’économie de marché réalise, ce qui ne l’empêche pas de déclarer, « La main invisible du marché ne fonctionnera jamais sans un poing invisible. McDonald’s ne peut prospérer sans McDonnell Douglas, qui a conçu le F-15 de l’Armée de l’Air des États-Unis. Quant au poing invisible qui assure la sécurité dans le monde, afin qu’y prospèrent les technologies de la Silicon Valley, il porte à tour de rôle les noms d’Armée des États-Unis, Aviation des États-Unis, Marine des États-Unis, Corps de Marines des États-Unis »¨... (Lire au complet)

 http://www.bilaterals.org/spip.php?article23666&lang=en

Pégé




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lundi 26 août 2013

Psychologie :¨Fierté gaie¨..mosaïque d'un défilé !

Salut à tous,  

Du journal Le Quotidien du Saguenay-Lac-St-Jean, un commentaire de la journaliste Myriam Ségal :

   ¨Chaque fois que je revois le défilé de la <<fierté gaie>> de Montréal, je ressens un malaise. Comme si le titre de l'évènement dénaturait son objectif légitime. Pour peu qu'il fasse beau, des milliers de personnes y assistent. Il y a 30 ans, les <<drags queens>> et autres extravagants donnaient la fâcheuse impression que les gais s'exhibaient comme des bêtes de cirque. La mosaïque du défilé semble maintenant plus représentative.

   Les gais, comme les hétéros, sont des gens normaux. Ils tombent en amour, parfois ils cherchent longtemps l'âme sœur, parfois non.

   Chez les hétéros comme les gais, certains dissocient la sexualité et l'amour, d'autres non. Parfois, ils se marient, parfois non. Parfois ils se séparent, ont de la peine.

   Gais et hétéros partagent les mêmes aspirations au bonheur et à l'amour.

   L'orientation sexuelle n'est ni un sujet de fierté , ni un sujet de honte. Comme les yeux bleus et les cheveux bruns, on ne la choisit pas, on ne la développe pas; elle n'évolue pas, ni ne progresse. Elle fait partie de nous, comme la longueur de notre squelette, la forme de nos yeux.

   On est fier de ce qu'on écrit, de ce qu'on produit. Fier de faire des concours, du sport. On est fier quand on développe nos capacités, qu'on accomplit un progrès. Fier d'un diplôme, d'un travail, d'un projet, oui... mais fier d'être gai ou hétéro ? Non.

  <<Fierté gaie>> insinue qu'être gai est méritoire. Il n'y a ni mérite, ni honte, pas plus que d'être hétéro. Imaginez un défilé de la fierté hétéro ! Cela choquerait, avec raison, laissant l'impression que les hétéros se targuent d'une supériorité.

Progrès !
   Plusieurs personnes gais, surtout en politique ou dans le sport, ont caché leur orientation sexuelle durant des années. Cette dissimulation  les rendait vulnérables au chantage, à l'extorsion, à la menace. Ils se protégeaient entre eux, s'entourant de gens qui, comme eux, sentaient cette sourde menace, alors que l'homosexualité passait pour une perversion, un choix malsain.
   Cette époque est révolue !
   Finis, la honte et les placards !

   L'immense majorité comprend bien que la nature nous fait hétéro ou gai, comme elle nous fait grand ou petit. Deux politiciens régionaux sont ouvertement gais. Ils ne le cachent pas, mais ne l'exhibent pas non plus comme une gloire. On les apprécie pour ce qu'ils font, pas pour leur vie personnelle.

   En fait, on s'en fiche de leur orientation. Cette indifférence surpasse la tolérance, qui implique que l'on endure une différence.

   Bien sûr, l'éducation et la vigilance restent essentielle, surtout à l'âge de la méchanceté, à l'adolescence, quand le jeune veut fusionner avec la meute ingrate. Il a alors le mépris et l'injure faciles, ils marginalisent volontiers; la discrimination fermente.

   Il faut l'éradiquer, faire honte aux harceleurs et aux insulteurs, leur faire comprendre la normalité des différences attirances.

   Le titre de <<fierté gaie>>, qui s'expliquait il y a 30 ans, quand il fallait du courage pour le dire, me semble maintenant désuet, comme si une orientation sexuelle avait plus de mérite qu'une autre. Rebaptisons l'évènement. Le progrès des Québécois, leur ouverture d'esprit et de cœur, mérite que l'on choisisse un nom qui apaise au lieu de provoquer.

Femmes !

   Les pressions pour amener des femmes en politique ou dans les conseils d'administration m'agacent aussi.

   Chaque fois que j'entends ces discours, j'ai l'impression qu'on ravale les femmes à un état d'infériorité qui nécessite qu'on les laisse artificiellement une chance, comme on se met à genoux pour jouer devant un enfant, qui manque de force pour lancer une balle.

   Cultivons une indifférences salutaire vis à vis du sexe et de l'orientation sexuelle des élus, des candidats. Qu'on les choisisse bons, transparents, ouverts, vaillants, intègres, vigilants. Qu'ils proposent des idées, qu'ils réfléchissent avant d`agir.

  Peux importe qu'ils aient une prostate ou des ovaires !¨.

Pégé
  
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mercredi 21 août 2013

Psychologie : Vivre seul, mais pas solitaire pour autant !

Salut à tous,  

Il y a quelques décennies, , il y avait environ 10 % de la population canadienne qui vivait seule et présentement, ce pourcentage serait au alentour de 30 %...

Bien entendu, il y a une certaine proportion de cette population qui doit subir cette solitude, soit par la maladie, une famille éloignée, la vieillesse, etc., mais pour la majorité, cette manière de vivre est volontaire, et elle s'en accommode parfaitement, et semble même heureuse d'en vivre la réalité quotidienne...

Du site Le Monde diplomatique :

   ¨Résiduel il y a cinquante ans, le nombre de personnes qui vivent seules a explosé dans les pays dits « développés ». Certains y voient le signe d’un isolement social croissant, voire d’une forme de narcissisme. Pourtant, l’étude des conditions qui ont rendu possible cette transformation révèle un tableau bien plus nuancé, mêlant individualisme et profusion relationnelle¨... (Lire la suite)

http://www.monde-diplomatique.fr/2013/03/KLINENBERG/48825

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Du site MadmoiZelle.com : Les avantages de vivre seule !

   ¨Parfois, on est bien obligées de vivre seules sans personne pour nous accueillir chaque soir avec la fanfare et la joie dans le coeur. Qu’importe : voici les avantages de dire oui à la vie en solo.

   Avant, dans une époque éloignée où on prenait les photos en noir et blanc, c’était simple (et pas forcément mieux) : on passait du domicile familial à la vie de couple en ne passant presque jamais par la case « J’habite un studio toute seule ». Des fois, c’est un peu triste de rentrer chez soi et de n’y trouver personne.

Manger ce qu'on veut !

   C’est quand même l’avantage numéro 1 : partir de chez les parents et s’installer seule dans sa chambre d’étudiante, c’est quand même l’occasion – on ne le répètera jamais assez  - de manger absolument ce qu’on veut, à l’heure qu’on veut, sans jamais avoir à se demander si le menu convient à la personne avec qui on vit, si personne n’est allergique à l’huile de colza ou au Chocapic à la sauce soja.

Rester autant de temps qu’on veut dans la salle de bain !

  J’aimerais vivre dans un monde où chacun a sa salle de bain. En attendant d’avoir les moyens d’investir dans un appartement à baignoires multiples, j’ai décidé de refuser la vie à deux.

On peut regarder ce qu’on veut à la télé ! (Lire la suite)

Pas d’attente aux toilettes ! (lire la suite )

(Lire au complet)  http://www.madmoizelle.com/vivre-seule-avantages-157448

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Du site Terre IniPi : Vivre seul et heureux, c'est possible !

   ¨La majorité des gens trouve plus difficile de vivre seul qu'en couple. L'on sait, par exemple, que le taux de suicide est plus élevé chez les personnes vivant seules et que les gens mariés vivent plus longtemps et, généralement, plus heureux. La solitude fait tellement peur que nombreux sont ceux et celles qui préfèrent poursuivre une relation insatisfaisante plutôt que de quitter leur partenaire.

   Pourtant, vivre seul, n'est ni bien, ni mal; c'est seulement une situation précise, tout comme la vie à deux. De même qu'avoir un partenaire n'est pas nécessairement une garantie de bonheur, être célibataire n'est pas non plus une situation désastreuse. Le bonheur n'a rien à voir avec le statut civil.

Les pièges du célibat !

   Pour éviter que le célibat ne devienne source de malheur, la personne vivant seule doit être consciente des pièges qui la guette. La solitude constitue le premier et principal danger car celle-ci risque de se transformer en isolement. D'où la nécessité pour le célibataire d'avoir une vie active remplie d'activités (sociales, sportives, culturelles...) épanouissantes et de développer des amitiés intimes, durables et asexuées, des deux sexes. La fonction de la solitude est d'être remplie; elle devient alors le moment privilégié pour réaliser les projets personnels. (Lire au complet)

   http://www.terre-inipi.com/Presse/dallairey1.html

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lundi 12 août 2013

Géopolitique : ¨L'honnêteté¨ d'Israël dans ces nouvelles négociations de paix !

Salut à tous,  

   Un sujet d'actualité qui n'en fini plus de s'éterniser, de tourner en rond, basé sur la politique, la religion, le droit biblique, la haine, la violence... mais où la bonne volonté, l'honnêteté de parole et de gestes, de respect de l'autre sont constamment bafoués, jour après jour, insidieusement, comme si cette attitude négative pouvait aboutir un jour à une vraie paix durable !

Du site Slate.fr : Et si Churchill détenait la clé de la paix au Proche-Orient ?

   ¨Israéliens et Palestiniens feraient bien de s'inspirer de quatre maximes churchilliennes: Dans la guerre: Résolution. Dans la défaite: Intransigeance. Dans la victoire: Magnanimité. Dans la paix: Bonne volonté.

  Il n’est pas très agréable de jouer le rabat-joie quand il s’agit des nouveaux «pourparlers de paix» entre Israéliens et Palestiniens, mais il faudrait que je range mon cerveau sur une étagère pour être optimiste. Lisez David Gardner dans le Financial Times ou le récent papier de Richard Falk si vous voulez d’autres bonnes raisons d’être pessimiste, comme s’il n’y en avait déjà pas assez.

  Mais devant tous les obstacles évidents, une question vient, tout aussi évidente: Que fabrique le Secrétaire d’Etat américain John Kerry? Il n’est peut-être pas un parangon de charisme, mais il n’est pas stupide. Pourquoi a-t-il donc choisi de se lancer sur cette voie bien connue pour mener tout droit à l’échec?

   Il est certain qu’il garde à l’esprit que le soutien inconditionnel des Etats-Unis à l’égard d’Israël et la colonisation continue des terres de Palestine sont dommageables aux intérêts américains au sens large. Il a sans doute parfaitement compris que la tendance actuelle ne peut qu’être dommageable sur le long terme pour Israël.

  Il est sans doute également pressé par J Street et d’autres groupes pro-israéliens modérés aux Etats-Unis, qui ont parfaitement conscience que la solution a deux Etats est en train de se réduire comme peau de chagrin et que l’alternative consisterait à faire d’Israël un Etat pratiquant ouvertement l’apartheid¨... (Lire au complet)

http://www.slate.fr/story/76208/churchill-paix-israel-palestine-proche-orient

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Et une vidéo qui nous montre bien où en est la présente situation entre Israël et la Palestine !

http://youtu.be/JqcFbziCRmQ

Pégé



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