Salut à tous,
Lorsque l`argent des riches s`étale dans la démesure... et de l`ignorance des autres, avec leur petit monde privilégié restreint !
Du site L`actualité :
¨ Lorsque Lucille Grenier, 90 ans, évoque l’histoire du Seigniory Club, elle peine à contenir son enthousiasme. Reviennent à sa mémoire les bals costumés du samedi soir, les spectacles de chanteurs vénitiens en gondole et les cours donnés par des vedettes de différentes disciplines sportives. « C’était le summum de la vie en haute société. On vivait dans un monde de rêve », se remémore-t-elle avec émotion.
Car les membres du Seigniory Club ne subissent pas les conséquences de la crise. Magnats de la finance, PDG, héritiers de familles aristocratiques ou politiciens en vue, ces gentlemen vivent dans un monde à part. Ils font partie du 1 %, comme on dirait aujourd’hui. Et en cette période d’austérité, ils n’ont aucune intention de réduire leur train de vie. Ils se réfugient à Montebello, sur les terres de l’ancienne seigneurie de Louis-Joseph Papineau, la Petite-Nation, à mi-chemin de Montréal et d’Ottawa. À un jet de pierre du manoir du leader de la rébellion des Patriotes de 1837-1838, on bâtit ce qui reste la plus grande construction en bois rond du monde.
Ce palace en rondins est construit en employant des techniques scandinaves, alors inconnues en Amérique du Nord. Plus de 800 ébénistes, surtout d’origine européenne, sculptent les billots à la hache sous la direction d’un expert, le Finlandais Victor Nymark.
À son apogée, dans les années 1960, le Seigniory Club compte 1 350 membres. Pour y adhérer, il faut appartenir à la haute société et être parrainé. Juifs et gens de couleurs étaient formellement exclus. Quant aux francophones, ils étaient, dit-on, ¨tolérés¨.
La fin des années 1960 sonne le glas de ce club sélect. Les « seigneurs » désertent de plus en plus le château, sauf pour les grandes fêtes de Noël et de Pâques. Lucille Grenier attribue cette baisse d’intérêt à la révolution dans les transports. « Le monde s’ouvrait à nous. La Côte d’Azur nous attirait comme un aimant », raconte-t-elle. Son frère, Camille, lui, opte pour des vacances en famille au bord de la mer, à Old Orchard, dans le Maine. « Je voulais vivre une autre expérience avec mes enfants », confie-t-il¨... ( Lire l`article au complet )
http://www.lactualite.com/societe/chateau-montebello-le-refuge-des-grandes-fortunes/
Pégé
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