Salut à tous,
Du site HuffPost Québec :Affirmer la laïcité n’est pas se fermer à qui que ce soit, c’est une invitation positive à partager et à penser la vie sociale en tant que citoyen, non en tant que pratiquant d’une religion.
¨ L’attitude laïque n’empêche pas la foi, elle spécifie seulement que le devoir public n’est pas le lieu pour manifester sa confession religieuse — évidence qui semblait acquise depuis longtemps. Il est étonnant qu’on l’oublie.
Le projet de loi du gouvernement Legault sur la laïcité suscite des réactions étonnantes que nous aimerions souligner, nous limitant tout au plus aux recommandations sur les signes religieux et à leurs principes sous-jacents, qui sont après tout le point de départ et le cœur du problème.
Premier étonnement !
Qui niera qu'affirmer la laïcité soit forcément d'intervenir au niveau de ces signes et de leur responsabilité? Qui niera que les signes religieux, comme tous les signes de la vie culturelle connotent, induisent et formulent un «sens»? Les signes signifient! De la cravate à la Svastika, un signe parle, veut dire. Le foulard des femmes musulmanes aussi, comme la soutane des prêtres signifiait, impliquait l'appartenance à une famille spirituelle, le partage de règles, d'un credo, l'obéissance à l'évêque, etc.
Second étonnement !
Pourquoi en saisir le sens ici et non là? Car c'est avant tout à l'école que la chose s'impose.
Que dit la laïcité? Elle dit aux enseignants: ce n'est pas en tant que chrétiens, en tant que musulmans, que vous enseignez dans une société de la séparation des Églises et de l'État, mais en tant que citoyens.
Troisième grand étonnement !
La réception à cette législation s'explique :Comment ignorer qu'un voile est symbole
Du site HuffPost Québec :Affirmer la laïcité n’est pas se fermer à qui que ce soit, c’est une invitation positive à partager et à penser la vie sociale en tant que citoyen, non en tant que pratiquant d’une religion.
¨ L’attitude laïque n’empêche pas la foi, elle spécifie seulement que le devoir public n’est pas le lieu pour manifester sa confession religieuse — évidence qui semblait acquise depuis longtemps. Il est étonnant qu’on l’oublie.
Le projet de loi du gouvernement Legault sur la laïcité suscite des réactions étonnantes que nous aimerions souligner, nous limitant tout au plus aux recommandations sur les signes religieux et à leurs principes sous-jacents, qui sont après tout le point de départ et le cœur du problème.
Premier étonnement !
Qui niera qu'affirmer la laïcité soit forcément d'intervenir au niveau de ces signes et de leur responsabilité? Qui niera que les signes religieux, comme tous les signes de la vie culturelle connotent, induisent et formulent un «sens»? Les signes signifient! De la cravate à la Svastika, un signe parle, veut dire. Le foulard des femmes musulmanes aussi, comme la soutane des prêtres signifiait, impliquait l'appartenance à une famille spirituelle, le partage de règles, d'un credo, l'obéissance à l'évêque, etc.
Second étonnement !
Pourquoi en saisir le sens ici et non là? Car c'est avant tout à l'école que la chose s'impose.
Que dit la laïcité? Elle dit aux enseignants: ce n'est pas en tant que chrétiens, en tant que musulmans, que vous enseignez dans une société de la séparation des Églises et de l'État, mais en tant que citoyens.
Troisième grand étonnement !
La réception à cette législation s'explique :Comment ignorer qu'un voile est symbole
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