Salut à tous,
Du site 20 minutes.fr : Le pays sous le feu des critiques après des exécutions massives !
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme, l’Union européenne, l’Iran, Amnesty International et Human Rights Watch (HRW) ont été parmi les premiers à dénoncer ces exécutions. Au moins 33 des suppliciés appartenaient à la minorité chiite du royaume dirigé par une dynastie sunnite, a indiqué HRW. Les personnes exécutées ont été reconnues coupables d’avoir « adopté la pensée terroriste extrémiste » et d’avoir « formé des cellules terroristes », a affirmé le ministère saoudien de l’Intérieur.
« La peine de mort est utilisée comme un outil politique pour écraser la dissidence »
Il s’agit des premières exécutions de masse depuis janvier 2016 lorsque 47 condamnés avaient été mis à mort, dont un haut dignitaire chiite, un évènement qui avait provoqué des tensions et la rupture des relations diplomatiques entre Riyad et Téhéran. Les 33 chiites exécutés mardi ont été condamnés à l’issue de procès « injustes » et les autorités ont obtenu des aveux de « nombre d’entre eux » par la torture, a déclaré HRW.
« L’exécution massive des prisonniers montre que les dirigeants saoudiens n’ont que peu d’intérêt à améliorer le triste bilan du pays en matière de droits humains », a déclaré Michael Page, directeur adjoint de HRW pour le Moyen-Orient. Dès mardi, Amnesty International avait condamné ces exécutions. « C’est une autre indication de la façon dont la peine de mort est utilisée comme un outil politique pour écraser la dissidence au sein de la minorité chiite du pays », avait dénoncé Lynn Maalouf, directrice de recherche sur le Moyen-Orient¨...
Des mineurs parmi les mis à mort !
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme a lui aussi vivement réagi. « Je condamne fermement ces exécutions de masse choquantes (…) en dépit des inquiétudes soulevées au sujet de ces cas par de nombreux rapporteurs spéciaux de l’ONU, par le Comité de l’ONU sur les droits de l’enfant et d’autres », a déploré la haut-commissaire, Michelle Bachelet. Elle a en particulier jugé « odieux » le fait qu’au moins trois des suppliciés étaient mineurs au moment de leur procès.
( Voir l'article au complet )
Pégé
Windows 7 / Windows XP Pro / Windows 10 / Ubuntu 14.04 LTS / Linux Mint 17 MacOS X iBook, version 10.4.11 ¨Tiger¨.
Du site 20 minutes.fr : Le pays sous le feu des critiques après des exécutions massives !
¨ PEINE DE MORT Les
37 personnes exécutées mardi ont été reconnues coupables d’avoir
« adopté la pensée terroriste extrémiste » et d’avoir « formé des
cellules terroristes ».
Au lendemain de l’exécution de 37 Saoudiens, condamnés pour « terrorisme », portant à 107 le nombre de mises à mort depuis le début de l’année,
l’Arabie saoudite s’est retrouvée, ce mercredi, sous le feu des critiques.Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme, l’Union européenne, l’Iran, Amnesty International et Human Rights Watch (HRW) ont été parmi les premiers à dénoncer ces exécutions. Au moins 33 des suppliciés appartenaient à la minorité chiite du royaume dirigé par une dynastie sunnite, a indiqué HRW. Les personnes exécutées ont été reconnues coupables d’avoir « adopté la pensée terroriste extrémiste » et d’avoir « formé des cellules terroristes », a affirmé le ministère saoudien de l’Intérieur.
« La peine de mort est utilisée comme un outil politique pour écraser la dissidence »
Il s’agit des premières exécutions de masse depuis janvier 2016 lorsque 47 condamnés avaient été mis à mort, dont un haut dignitaire chiite, un évènement qui avait provoqué des tensions et la rupture des relations diplomatiques entre Riyad et Téhéran. Les 33 chiites exécutés mardi ont été condamnés à l’issue de procès « injustes » et les autorités ont obtenu des aveux de « nombre d’entre eux » par la torture, a déclaré HRW.
« L’exécution massive des prisonniers montre que les dirigeants saoudiens n’ont que peu d’intérêt à améliorer le triste bilan du pays en matière de droits humains », a déclaré Michael Page, directeur adjoint de HRW pour le Moyen-Orient. Dès mardi, Amnesty International avait condamné ces exécutions. « C’est une autre indication de la façon dont la peine de mort est utilisée comme un outil politique pour écraser la dissidence au sein de la minorité chiite du pays », avait dénoncé Lynn Maalouf, directrice de recherche sur le Moyen-Orient¨...
Des mineurs parmi les mis à mort !
Le Haut-Commissariat de l’ONU aux droits de l’homme a lui aussi vivement réagi. « Je condamne fermement ces exécutions de masse choquantes (…) en dépit des inquiétudes soulevées au sujet de ces cas par de nombreux rapporteurs spéciaux de l’ONU, par le Comité de l’ONU sur les droits de l’enfant et d’autres », a déploré la haut-commissaire, Michelle Bachelet. Elle a en particulier jugé « odieux » le fait qu’au moins trois des suppliciés étaient mineurs au moment de leur procès.
( Voir l'article au complet )
Pégé
Windows 7 / Windows XP Pro / Windows 10 / Ubuntu 14.04 LTS / Linux Mint 17 MacOS X iBook, version 10.4.11 ¨Tiger¨.
Aucun commentaire:
Publier un commentaire