Du site Huffpost Québec :C'est étonnant qu'avec tous les débats sur la religion, personne ne semble avoir pris le temps de se demander: «qu'est-ce qu'une religion?»
¨ Nous croyons tous avoir la réponse, mais pourtant nous avons tous une réponse différente. Le pastafarisme est un mouvement qui se prétend religieux, plusieurs juges leur accordent effectivement ce statut. Pourtant, une courte étude de la question démontrerait que le pastafarisme n'est pas une religion. Ce mouvement a toutefois été au cœur de nombreux scandales d'accommodements et jamais nous ne semblons avoir évoqué la question d'une définition.
Un fait social !
Il découvre en 1912 que le but de la religion est de regrouper la communauté, renforcer les liens d'unité, améliorer le travail d'équipe pour assurer la survie de la tribu. La tribu se réunit autour du totem principal, le totem du clan, et célèbre ensemble. Ces rites servent à se préparer pour la chasse, le combat ou pour célébrer un événement spécial. Bref, toutes des actions nécessitant une action commune. Des rites de moindre importance pour la communauté sont célébrés dans chaque famille (le totem famille ou les armoiries familiales). Nous pouvons comparer ces événements au Noël d'antan, où tout le village se regroupait pour fêter ensemble la naissance du Christ. Une fois la messe de minuit terminée, les familles se regroupaient pour célébrer ensemble.
Le mythe sert le social !
Par mythe, nous entendons aujourd'hui une légende. Pourtant, un élément différencie les deux: le mythe est source de loi et d'explication, la légende est un récit. Le mythe a deux fonctions: expliquer la nature du monde et expliquer la raison des lois.
Le mythe est une forme de publicité pour les lois. Ils régissent la vie de la communauté et c'est ainsi que se créent les premiers codes civils et criminels. Même les dix lois juives servent la religion et la société: les cinq premières concernent la religion, les cinq dernières la vie de la société. Les textes qui suivent le décalogue sont l'équivalent de l'actuelle jurisprudence. Alors que le décalogue interdit l'esclavagisme ou, plutôt, de créer des esclaves, les textes qui suivent gèrent la vie d'un esclave. Alors que le décalogue est strict avec un «tu ne tueras point», les textes qui suivent expliquent les cas où la peine de mort est tolérable¨... (Voir l`article au complet)
http://quebec.huffingtonpost.ca/simon-l-stonge/definition-religion-mythes-societe-communaute_b_7834500.html?ncid=tweetlnkcahpmg00000011
Pégé
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